L’Union des Producteurs agricoles et d’autres groupes du secteur agroalimentaire québécois craignent des impacts majeurs en raison de la grève partielle et illimitée des travailleurs au Port de Montréal. Cette situation pourrait ralentir les livraisons de produits agricoles et alimentaires, faire augmenter le prix des matières de base et de certains aliments, et même provoquer des pénuries. C’est pourquoi l’UPA et le Conseil de la transformation alimentaire demandent au gouvernement fédéral de prendre des mesures pour protéger les chaînes d’approvisionnement et encourager le dialogue afin que se règle la crise au port de Montréal. Rappelons que la Montérégie est la région du Québec qui regroupe le plus grand nombre d’entreprises agricoles.

-André St-Pierre