Les éducatrices en garderie du Québec ont amorcé dès lundi un mouvement de pression, retardant l’ouverture des services pendant quatre semaines. Elles revendiquent des conditions de travail améliorées pour le personnel en petite enfance. Les CPE affiliés à la Centrale des syndicats du Québec repoussent aussi leurs heures d’ouverture, mais seulement pour les quatre prochains vendredis. C’est 1 200 membres qui cherchent des meilleures conditions à l’heure actuelle.
-Hugo Montreuil
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