La Ville de Beauharnois a vivement réagit à un reportage du Journal de Montréal, qualifiant ses allégations sur des dépenses extravagantes de biaisées » et confuses. Selon Beauharnois, les frais contestés, comprenant des soupers et l’adoption de deux chats pour la zoothérapie, ne représentent que 0,1 % de son budget. Le maire Alain Dubuc a défendu les dépenses liées à des événements professionnels, affirmant qu’elles sont encadrées par des politiques sévères. Beauharnois invite les citoyens à poser des questions pour clarifier la situation, soulignant que ces investissements visent à créer un environnement de travail positif.
-Hugo Montreuil
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